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Méthanisation. La Région Bretagne veut des données scientifiques

La Bretagne est une pionnière du développement de la méthanisation, une technique qui consiste à transformer des effluents d’élevage et des résidus de cultures en . Mais la controverse enfle avec le développement de la filière. Le conseil régional de Bretagne veut s’appuyer sur des données scientifiques alors qu’il ambitionne de multiplier par 11 sa production de en 2 040.

 

Pionnière du développement de la méthanisation avec 153 unités en fonctionnement au 1er janvier 2021, la Région Bretagne semble désormais vouloir prendre le temps de la réflexion. Elle vient de lancer un appel d’offres pour réaliser une étude exhaustive sur le sujet, alors que la controverse enfle sur cette technologie qui consiste à transformer des effluents d’élevage et des résidus de cultures en .

Dix ans de méthanisation
 

Riverains, agriculteurs, associations environnementales… Ils sont nombreux à redouter les conséquences de cette technique sur l’environnement, sur l’évolution du modèle agricole ou même le développement des cultures énergétiques. La Région, qui a investi plus de 8 millions pour soutenir 110 projets surtout dans des exploitations laitières ou porcines, en a conscience. C’est pourquoi elle souhaite faire la part des choses grâce à cette étude et bénéficier d’une expertise sur un sujet où elle reconnaît, dans le texte accompagnant l’appel d’offres, que les données scientifiques semblent encore insuffisantes.

Nous sommes dans notre rôle, indique Arnaud Lécuyer, vice-président du conseil régional, chargé de l’agriculture, de l’agroalimentaire et de l’alimentation. C’est une forme d’évaluation d’une politique publique, après dix ans de méthanisation en Bretagne.


Par La Présidente • Actualités • Vendredi 17/09/2021 • 0 commentaires • Version imprimable

A toutes les candidates et tous les candidats aux prochaines élections

Aux candidat(e)s aux élections départementales et régionales :

Alerte sur le développement « débridé >» des usines de méthanisation

Concernant le changement climatique et la transition écologique qui en découle, il existe un sujet important qui doit être abordé pendant la campagne électorale par les candidat(e)s aux élections départementales et régionales sur lequel ils (elles) doivent se positionner pour que leurs électeurs et électrices puissent se prononcer en toute connaissance de cause : il s'agit des nombreux projets d'usines de méthanisation ou « le mirage du ».

Les objectifs de la transition écologique ne doivent pas sacrifier certains points décrits ci-dessous en accordant des permis délivrés avec trop peu de contraintes, mais prendre en compte I'impact et le bilan écologique global de ces installations dangereuses et à très haut risque de pollution.

Ces candiat(e)s ne peuvent pas ignorer la levée de boucliers que ce sujet soulève partout en France et ne pas répondre à ces inquiétudes justifiées par un positionnement et un engagement personnel très fort, oral et écrit, dans leur acte de foi de campagne électorale ainsi que par leurs interventions ultérieures auprès des instances ministérielles concemées.

Et ce ne sont pas les nouveaux arrêtés, en cours d'élaboration, projetés par la ministre de la Transition Ecologique, Barbara POMPILI << au premier janvier 2023, les nouvelles installations de méthanisation devront être situées à au moins 200 m des habitations environnqntes el plus seulement à 50 m », qui seront de nature à rassurer les opposants, modérés et raisonnés, à la méthanisation : application trop tardive, nouvelle distance avec les habitations beaucoup trop faible et ce ne sont pas les seuls griefs que I'on peut attribuer à cette technologie de production de gaz, abusivement appelée « production de ».

En effet, vous semble t'il normal et comment accepter (liste non exhaustive) :
-que I'implantation d'un méthaniseur puisse se faire dans une zone habitée avec plus de 400 maisons dans un rayon d'l km dont quelques-unes à moins de 200 m, sans consultation des riverains (ni de la part du porteur de projet ni de la mairie concernée) alors que la Région et les Préfectures de Nonmandie ainsi que I' préconisent une consultation et une information larges (organismes qui ne conditionnent pas leurs subventions au respect de leurs necommandations) ?

-que bien que la législation interdise I'utilisation de plus de 15% de cultures principales dans les intrants (ce qui est déjà inacceptable mais justifié par un apport de matières beaucoup plus méthanogène que celui des effluents d'élevage, incitant leurs exploitants à, tès souvent, dépasser ce seuil), celle-ci ne fasse pas I'objet de contrôles ni sur la quantité, ni sur la nature et pas même sur la provenance alors que ces denrées parcourent, parfois, plusieurs centaines de kilomètres en camion et on choisit de nourrir les méthaniseurs plutôt que les hommes, tout cela pour produire ce que I'on appelle abusivement « de l'énergie verte » ou « de l'énergie bio » ??? .

-que la reparation des réseaux routiers, empruntés et inévitablement dégradés par des véhicules nécessaires aux transports des intrants et des digestats mais dépassant, souvent, tnès largement les gabarits et les tonnages acceptés par ces voiries, soit financée par les contribuables et non par ceux qui génèrent ces dégradations ?

-qu'une méthanisation puisse s'implanter, sans étude d'impact, au dessus d'une nappe phréaüque à faible profondeur ou au bord d'un cours d'eau, alors que les contrôles de fuites éventuelles des rétentions ne sont que visuels et à une fréquence de 5 ans ? .

-qu'aux nuisances olfactives et visuelles que doit supporter le voisinage, celui-ci doit, également, accepter la dépréciation immobilière de son bien, inhérente à oes nuisances ? .

-que ces ICPE ne soient pas toutes en autorisation administraüve (quelque soit leur taille) afin de permethe aux riverains de s'exprimer lors de l'enquête publique (la modification des seuils du régime de déclaration ICPE, effecfuée par le ministère de I'environnement de MT.HULOT, est un scandale) ? .

-que les non conformités des installations ne sont pratiquement, jamais constatées (sauf après un acciden! ou une pollution) du fait du manque de contrôle des autorités de tutelle (auto-contrôle des exploitants qui n'ont pas toujours la disponibilité eÿou les compétences pour la conduite de ces usines ù gaz) ?

Futur(e)s élu(e)s, ce sujet est trop important pour que vous le négligiezl. par vos engagements oraux et écrits pendant la campagne électorale, prouvez à vos électeurs et électrices qu'après votre élection, vous ferez tout ce qui est en votre pouyoir pour faire améliorer les textes législatifs applicables âux installations de méthanisation afin d'empècher leur développement débridé qui, aujourdrhui, ne prennent pas en compte leurs impacts globalisés et notamment ceux décrits ci-dessus.

A titre personnel accepteriez vous d'avoir pour proche voisin un méthaniseur ?
Par La Présidente • Actualités • Mardi 08/06/2021 • 0 commentaires • Version imprimable

Un village qui ne veut pas d'un méthaniseur

  au palmarès des villes où il fait bon vivre …….

sans méthaniseur au cœur du village.

 

 15 mètres de haut équivalent à un immeuble de 5 étages


 

Le projet du méthaniseur est toujours d’actualité:

3 champignons dont un de 15 mètres de haut ( immeuble 5 étages)

Les mesures de confinement empêchent l’association de faire des réunions de quartier pour vous informer de vive voix mais nous vous proposons de communiquer par mail.

Vous souhaitez être informés des évolutions du dossier, envoyez nous un mail à: onsesentbienalonrai@gmail.com pour recevoir notre bulletin »Lonr’actu»


Voilà ce qui nous attend
tous: pollution visuelle et olfactive, trafic tracteurs et camions, dévalorisation immobilière, dégradations routières…..

 

 


Par La Présidente • Actualités • Samedi 08/05/2021 • 0 commentaires • Version imprimable

Taxe enlèvement des ordures ménagères

Un service "low cost" au tarif d'un service "5 étoiles"

 Pour une Taxe d'Enlèvement des Ordures Ménagères  au juste taux

ou notre combat contre les moulins à vent pour ne pas payer un service « low cost » au tarif du « 5 étoiles »

 

Dans l'article « Taxe d'enlèvement des déchets : débats autour du taux unique » paru dans l'OH du 7/04/2021, les arguments, développés par les principaux « décideurs » de la CUA pour refuser cette différentiation de TEOM selon le service rendu, sont purement trompeurs pour les raisons suivantes :

 A) Mr. DIBO « évoque le taux fort acceptable du taux unique de la TEOM à 8,12% et que le fait d'introduire une taxe modulée en fonction des services rendus remettrait en cause l'équité sur l'intercommunalité qui deviendrait ingérable ».

Payer le même taux pour un service « low cost » ou un service « 5 étoiles » ne le dérange pas !!!!

Notre demande d'une taxe différenciée vise justement à une meilleure égalité de traitement pour l'ensemble des communes de la CUA afin de compenser les surcoûts générés par l'apport collectif pour ceux qui y sont obligés et ne remet pas en cause le taux bas que l'on peut attendre d'un service bien géré.

Quant au fait que le territoire concerné deviendrait ingérable : comme le précise, dans cet article, Mr. le Maire de Saint-Paterne-Le-Chevain « dans l'Orne, des EPCI appliquent des tarifs différenciés selon les services rendus », il en est ainsi au Sirtom de Flers agglo.

Nos gestionnaires de la CUA n'auraient-ils pas cette compétence de communication et/ou de comptabilité adaptée pour une égalité de traitement de leurs administrés ?

B) Mr. PUEYO « considère que cette question est secondaire et que l'enjeu passe avant tout par le développement des plateformes de propreté et le tri sélectif ».

Comme tout bon politicien aguerri, il botte en touche pour éviter la discussion.

Les vraies raisons supposées du refus de la TOEM adaptée aux prestations rendues :

Pour répondre à notre demande de dégrèvement de 25% de la TEOM (pour justifier cette demande, voir les arguments développés dans l'article « un aménagement équitable de la Taxe d'Enlèvement des Ordures Ménagères » paru dans l'OH du 27/01/2021) et maintenir une recette globale équivalente, il faudrait passer cette taxe de 8,12% à environ 9% pour le service « 5 étoiles »  concernant les habitants desservis en porte-à-porte (essentiellement la ville d'Alençon et la première couronne) et à environ 6,8% pour le service « low cost » concernant les habitants soumis à l'apport collectif obligatoire.

 L'application de cette demande pénaliserait les électeurs des principaux « décideurs » et il semblerait que ce refus soit plus motivé par le clientélisme auprès de leur électorat que par le raisonnement d'égalité de traitement des citoyens de la CUA.

 Faire « payer trop les autres » pour ne pas faire « payer plus vos électeurs », voilà ce qui s'est probablement décidé lors de la dernière réunion du Conseil de la CUA, décision votée à l'unanimité par tous les Maires et personne ne conteste !!!!!

Contact : onsesentbienalonrai@gmail.com


Par La Présidente • Actualités • Jeudi 15/04/2021 • 0 commentaires • Version imprimable

A coté de chez nous : une cuve de stockage se vide

 

2 000 m3 de lisier s'écoulent dans un ruisseau à La Mesnière, dans le Perche

Le lisier d'une production laitière a terminé dans un ruisseau, à La Mesnière (Orne). L'une des "plus grosses pollutions" constatées dans l'Orne, selon la Fédération de pêche.

La vague de lisier a déferlé jusqu'au ruisseau.
La vague de lisier a déferlé jusqu’au ruisseau. (©Le Perche)

Mardi 30 mars 2021, peu après 16 h, les pompiers ont été alertés d’une pollution au lisier, dans la commune de La Mesnière (Orne).

La cuve de l’unité de méthanisation a cédé

Six sapeurs des centres de secours de Mortagne-au-Perche et Le Mêle-sur-Sarthe sont intervenus au lieu-dit « Puisay », et ont mis en place un premier barrage et des solutions de pompage.

Dans le petit ruisseau de Puisaye, qui prend sa source ici avant de se jeter dans celui l’Erine, qui lui-même est un affluent de la Sarthe2 000 m3 de lisier se sont écoulés.

Ils proviennent de l’exploitation agricole voisine, sur laquelle est installée une unité de méthanisation.

À lire aussi

« Une cuve servant à stocker le lisier a rompu, de façon accidentelle », informe le capitaine Olivier Delaître, commandant en second de la compagnie de Mortagne-au-Perche. « Le lisier s’est ensuite écoulé sur la route, puis dans le ruisseau », détaille le capitaine.

Le lisier a recouvert le champ.
Le lisier a recouvert le champ. (©Le Perche)

Le barrage, constitué avec des ballots de paille et toujours en place, ce mercredi 31 mars, vise à dévier la pollution vers les champs autour. « L’objectif est que le lisier n’atteigne pas la Sarthe. » Un bassin de rétention a également été installé, au niveau de l’Erine.

Selon le capitaine, la « réaction rapide » des secours devrait permettre de limiter les nuisances. Une enquête a été ouverte afin de comprendre pourquoi la cuve de stockage a cédé.

« Plus rien sur 5 km »

Les agents de l’OFB – Office français de la biodiversité – étaient sur place mardi 30 et mercredi 31 mars, afin d’effectuer des prélèvements et constater la mortalité chez les poissons.

La Fédération de l’Orne pour la pêche et la protection du milieu aquatique était également sur site pour évaluer les dégâts, en compagnie de Guy Mallet, président de La Gaule Mêloise.

Selon la Fédération de pêche,
Selon la Fédération de pêche, « tous les poissons sont morts sur près de 5 km. » (©Le Perche)

C'est la plus grosse pollution que j'ai vue en 20 ans.

Jérôme JametResponsable technique de la Fédération de l'Orne pour la pêche et la protection du milieu aquatique

La « vague de lisier », de près de deux mètres de haut, a frappé les cuves de l’unité de méthanisation avant  de traverser les champs et finir sa course dans l’eau. Elle a « tout détruit sur 5 km de rivière », selon le technicien.

« On ne voit plus le fond du ruisseau, et tous les poissons sont morts jusqu’au barrage. » Plus loin, près de l’Erine, au niveau du barrage installé dans la nuit, on voit également quelques poissons morts dans le pré.

"C'était un tsunami"

Cédric Hartout et Christelle Ripeaux, le couple gérant l'exploitation de l'Earl La Source (élevage laitier) où était stocké le lisier, rapporte avoir vu un "tsunami", lorsque le mur de la cuve a cédé.
"Heureusement, personne ne se trouvait devant et personne n’est mort. C'est une vague d’environ deux mètres, qui a déferlé.»
Dans le champ, des cailloux de plusieurs kilos ont été emportés à des dizaines de mètres.
Les exploitants ont participé aux opérations en disposant des blocs de paille et de la terre sur le cours d’eau pour faire barrage.
« On a pompé jusqu’à minuit mardi soir », rapportent Cédric Hartout et Christelle Ripeaux.

Une catastrophe pour la biodiversité car le Puisaye était un « réservoir biologique », dans lequel « la population de truites était magnifique, et servait à repeupler d’autres rivières ».

Le mur de la zone de stockage a cédé, et a été propulsé par la vague de lisiers, à plusieurs mètres.
Le mur de la zone de stockage (ici à droite) a cédé, et a été propulsé par la vague de lisier à plusieurs mètres. (©Le Perche)

Parmi les victimes de la pollution, Jérôme Jamet identifiait également, mercredi 31 mars, des vairons et des chevesnes. « On a espoir que cette pollution puisse faire moins de dégâts à long terme, mais il faudra sans doute des années pour revenir à la normale. »

Le maire de la commune, Francis Bérard, n’a également « jamais vu ça », mais préfère relativiser : « Bien sûr, c’est une catastrophe écologique, mais c’est une bonne chose de ne pas avoir un mort sur les bras, et je crois que nous avons tous été réactifs pour stopper l’hémorragie ».

Jérôme Jamet acquiesce : « Effectivement, on voit qu’à l’autre bout du champ inondé, l’eau ressort claire, donc ça a déjà permis de filtrer. »‘

Construite en 2015, la zone de stockage de lisier, située à 100 mètres du cours d’eau, avait été faite « dans les règles », annonce le maire, par une société spécialisée dans ce genre d’ouvrage.

L’équipement, validé par la préfecture, est une « Installation classée pour la protection de l’environnement ». Le lisier stocké devait servir notamment à alimenter, pour la première fois, le digesteur de l’unité de méthanisation du couple d’exploitants.

Pompiers, gendarmes, élus et agriculteurs ont construits un barrage pour faire déborder l'eau dans un champ.
Pompiers, gendarmes, élus et agriculteurs ont construit un barrage pour faire déborder l’eau dans un champ. (©Le Perche)

La station d’eau potable d’Alençon surveillée

La suite ?

Il va falloir des mois, pour se débarrasser du lisier. L'objectif va être d'éviter de nouvelles pollutions, car le champ de l'exploitation est rempli de lisier qui pourra de nouveau s'écouler dès qu'il va pleuvoir.

Jérôme Jamet

La rivière la Sarthe va également être « surveillée de très près » par les services de l’État. L’OFB a déjà effectué des prélèvements à différents endroit de la rivière, à la recherche de traces d’azote, nitrates et autres polluants. « La station d’eau potable d’Alençon se situe juste en dessous », prévient Jérôme Jamet.

Il prévient aussi que la Fédération de l’Orne pour la pêche « se joindra à la procédure judiciaire et se portera partie civile afin de demander la remise en état du milieu, via, notamment, la réintroduction de poissons ».


Par La Présidente • Actualités • Mercredi 31/03/2021 • 0 commentaires • Version imprimable

Nous ne sommes pas les seuls à nous opposer à un méthaniseur

L'association Environnement Nord Sarthe se mobilise

 A Saint-Paterne et Saint-Céneri-le-Gérei : avis défavorable d'Environnement Nord-Sarthe pour le projet de méthanisation

L'association Environnement Nord-Sarthe (ENS) a rendu publiques ses observations concernant deux projets de méthanisation dans l'Orne et la Sarthe.
L’unité de méthanisation, située route de Mamers, a été créée en 2018. Une demande d’extension a été formulée par La société civile d’exploitation agricole qui gère le site.

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Par La Présidente • Actualités • Mardi 16/02/2021 • 0 commentaires • Version imprimable

15 mois de silence et la population mise devant le fait accompli

Courrier à Madame la Préfète

                                                                       Madame la Préfète de l’Orne



                                                                                                  le 25 Janvier 2021

 

Madame

Nous souhaitons vous informer que notre association a de nouveau était interrogée par les services de renseignements de la Gendarmerie sur nos intentions et éventuelles actions concernant le projet en objet : pour quelles raisons?

Ce questionnement et notre vigilance de tous les jours sur ce dossier nous laisse penser qu’une demande de modification de permis de construire pourrait intervenir.

Nous souhaitons que toutes les préconisations ci dessous soient appliquées :

- « Vademecum réglementaire sur la méthanisation Préfectures de Normandie :

Point de vigilance : Il est fortement conseillé de définir en amont une stratégie de communication, de réfléchir à l’information délivrée et aux échanges à avoir avec les riverains, les élus et les autres acteurs locaux, afin de prévenir les incidents préjudiciables de non acceptabilité sociale et sociétale »

- « fascicule sur la méthanisation de l  :

Un dialogue est instauré avec les riverains pour un projet partagé Les acteurs du projet et les habitants doivent pouvoir dialoguer. Les échanges, souvent facilités par la collectivité qui accueille le projet, se déroulent en 3 étapes : ▶ étape 1 : information de la population; ▶ étape 2 : consultation pour connaître l’avis des habitants et des usagers ; ▶ étape 3 : concertation pour permettre le dialogue et rechercher un accord entre toutes les parties intéressées pour lancer le projet.

- « guide de la méthanisation région Normandie :

L’acceptation du projet : un enjeu majeur. Comme dans tout projet de ce type, il est essentiel d’engager très en amont une concertation avec les citoyens et acteurs locaux. Ces échanges permettront à la fois de mieux leur faire comprendre les enjeux de la méthanisation, d’identifier les freins potentiels et de développer un argumentaire permettant d’y répondre.

Nous ne voulons pas être mis, une nouvelle fois, devant le fait accompli comme pour le permis de construire.

En effet nous avons eu connaissance que Monsieur le Directeur de l’aménagement et du développement , Madame l’architecte des bâtiments de France , Monsieur le Président de la CUA , Monsieur le Maire de et le demandeur se sont concertés en Mars 2019 pour que ce projet voit le jour sur le site de l’exploitation .

La demande de permis a ensuite été montée dans le plus grand secret , reçu un avis favorable immédiat de Monsieur le Maire sans consultation du conseil municipal en 12/2019 , instruite par vos services pour aboutir sur un accord en 07/2020 mettant la population devant le fait accompli.

Un déni des préconisations pendant 15 mois sans aucunes informations ni consultations des élus et de la population : c’est inacceptable.

Nous espérons que cela ne se reproduise pas si une demande de modification de permis intervenait. Vous pouvez compter sur notre extrême vigilance avec le soutien de plus de 300 Habitants.

Nous ne sommes pas contre la méthanisation mais contre l’implantation d’un méthaniseur proche des habitations, au milieu de la commune, au dessus d’une nappe phréatique, dans le périmètre protégé du château de et proche du cheminement doux.

Nous tenons à votre disposition tous les documents évoqués dans ce courrier si besoin.

Restant à votre écoute, nous vous prions d’agréer , Madame, nos respectueuses salutations.

 

                                                                                              La présidente

 

Copie pour information à Mr le Maire ainsi que Mesdames et Messieurs les conseillers municipaux

 

 

 


Par La Présidente • Actualités • Jeudi 28/01/2021 • 0 commentaires • Version imprimable

Courrier à Mr le Maire et messieurs et Mesdames du conseil municipal

 

                                                                                                                le 25 Janvier 2021

 

Objet : Copie du courrier adressé à Madame la Préfète

Monsieur le Maire

Mesdames et Messieurs les conseillers

Nous vous prions de trouver ci joint copie du courrier que nous adressons ce jour à Madame la Préfète concernant une éventuelle modification du permis de construire du méthaniseur.

Compte tenu de l’urgence sanitaire votée , du couvre feu en vigueur , nous profitons de ce courrier pour vous demander si vous avez prévu de faire les réunions de conseil municipal en journée ( Le samedi matin par exemple) pour que le public puisse continuer à être présent ?  

Nous vous rappelons aussi que nous restons dans l’attente de votre confirmation de la publication de notre droit de réponse au prochain compte rendu de réunion de conseil municipal ( notre courrier du 09 Janvier 2021) .

Restant à votre disposition pour vous rencontrer , nous vous prions d’agréer , Monsieur le Maire Mesdames et Messieurs les conseillers , nos respectueuses salutations.

 

                                                 La présidente et les membres du bureau  


Par La Présidente • Actualités • Jeudi 28/01/2021 • 0 commentaires • Version imprimable
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